Bhopal 3/12/1984 - Les Editions de Juillet
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Bhopal 3/12/1984

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Qui connaît Bhopal, la Bagdad de l’Inde, pour ses magnifiques mosquées ou ses palais d’un autre âge ? Dans l’imaginaire collectif, Bhopal, depuis décembre 1984, n’est plus que la ville du pire désastre industriel de l’histoire. Une catastrophe qui commence dans le silence d’une nuit d’hiver. Ça ne fait pas de bruit un nuage toxique qui s’échappe d’une usine, fut-elle installée au cœur de quartiers populaires et à immédiate proximité de bidonvilles qui fournissent une main-d’œuvre bon marché.

En une nuit, et dans les quelques jours qui ont suivi, ce sont des dizaines de milliers de personnes qui vont mourir dans d’horribles souffrances.

À Bhopal, nul ne savait exactement de quoi était composé ce gaz qui a fui de l’usine Union Carbide, là où l'on fabriquait un pesticide censé garantir la croissance de l’agriculture indienne. Donc, nul ne saura comment soigner les habitants qui déferlaient dans les hôpitaux ou agonisaient sur les trottoirs. Le secret était bien gardé par la filiale indienne de la multinationale américaine. Secret industriel dira-t-on. Secret mortel, évidemment.

35 ans plus tard, Isabeau de Rouffignac et Florence Traullé sont retournées sur les lieux du drame, qui en cache un autre. « Le désastre », comme disent les habitants de Bhopal, c’est certes cette nuit qui a fait basculer toute une ville mais c’est aussi, avant la fuite de décembre 1984, la lente pollution des eaux souterraines, résultat d'années de déchets toxiques déversés sans réelles précautions.

Format : 21 X 28 cm.

Couverture : cartonnée, et sérigraphiée.

208 pages, 170 photographies.

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